La Machinerie

Tiers-lieu de développement local participatif

1bis Rue de la Vallée, 80000 Amiens, France

Fab Lab Espace de coworking

Superficie 300 m²

Ouvert en Septembre 2014

Type de structure Association loi 1901

Exploré en Février 2016


🇫🇷 Depuis notre exploration en 2016, La Machinerie a changé d’adresse et s’est agrandie! Découvrez leur nouveau lieu sur leur site Internet :)

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🇬🇧 Since our exploration in 2016, La Machinerie grew bigger and moved to a new address! Discover the new space on their website :)

La Machinerie est une association d’Amiens qui regroupe dans ses locaux un Fab Lab, un espace de coworking et une boutique partagée. C'est avant tout un collectif porteur d'innovation autant technologique que sociale et un "tiers-lieu" ouvert, propice à l'émergence de projets en tout genre.

Thématiques principales

Initiatives sociales & solidaires Communauté Entrepreneuriat Robotique Technologie - machines & outils Education Design Electronique Drones & aéronautique

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Découvrez en plus sur notre espace, nos membres, nos machines & services !

L’histoire de La Machinerie débute dans une voiture, par du covoiturage. Jean-Baptiste Heren et Sébastien Personne travaillaient dans la même entreprise à Compiègne. L’un voulait monter une imprimante 3D, l’autre fabriquer un robot lui-même pour sa thèse. A force de bricoler ensemble dans les bureaux d’Etoele (entreprise de Jean-Baptiste), une question surgit : “pourquoi ne pas créer un petit espace pour les gens qui, comme eux, ont besoin de bricoler ?”

Ils ouvrent les bureaux d’Etoele (domicile de Jean-Baptiste) au public les samedis matins. Adrien Bracq, passionné de robotique et récemment arrivé à Amiens, entend parler d’eux, leur envoie un tweet et les rencontre autour d’un café en 2012. L’envie de monter leur propre entreprise, de sortir de leurs habitudes et de créer quelque chose ensemble s’impose petit à petit.

Dans le même temps, Un Tcho Pas de Côté part d’Amiens faire un tour d’initiatives similaires, avec au retour la projection d’un film réalisé sur la route. Tous ces éléments se goupillent et une communauté de personnes attirées par ces notions de Fab Labs, de tiers-lieux et de coworking émerge.

Une campagne de prêts participatifs en août 2014 lance l’aventure. Le local est trouvé dans le foulée, les différentes briques (coworking, Fab Lab, coboutique) se mettent en place et Adrien est embauché ! La Machinerie se veut ouverte à tous, porteurs de projets personnels, professionnels, curieux et bricoleurs qui cherchent un endroit et une communauté ! A leurs yeux, la réalité a dépassé toutes les attentes aujourd’hui. Et si vous souhaitez découvrir leur histoire avec leurs propres mots, c’est par ici

Aujourd’hui, la communauté des 270 adhérents de La Machinerie est très diversifiée, notamment par les activités de Fab Lab et de coworking, qui n’attirent pas le même public. La moitié sont étudiants ou scolaires, un quart salariés, un quart indépendants, artisans et entrepreneurs, et le reste se partage entre retraités, profs, chômeurs et personnes en reconversion ! Le tout se répartit équitablement entre les mineurs, les 18-25 ans et les plus de 25 ans, bien que les hommes soient plus représentés (77%).

Ces chiffres sur la communauté viennent du fichier excel rempli chaque jour par l’équipe. A terme, un système de cartes permettrait de comptabiliser automatiquement ces infos ! Si ces personnes découvrent le Fab Lab par le bouche-à-oreille, le site web et les réseaux sociaux, l’équipe a toutefois remarqué qu’elles laissent s’écouler un certain temps avant de prévoir une première venue, et plus longtemps encore avant de revenir.

Ce qui les fait revenir ? “Le matériel, les conseil, l’ambiance, la rencontre avec les autres, les événements. Les membres bricolent tout, du numérique, de la robotique, de l’électronique, de la scénographie, du mobilier.”

Certains ont commencé par des coups de main et sont aujourd’hui salariés ! Tous répondent présents lorsque l’équipe a besoin d’aide. “On laisse les gens relativement libres, mais l’implication n’est pas aussi spontanée qu’on le souhaiterait. Difficile de l’expliquer. Après, ça reste assez inhabituel de s’approprier un lieu qui n’est pas chez soi non ?”

Au départ, Jean-Baptiste Heren et Sébastien Personne ont monté un lieu de façon libre, gratuite et bénévole. Entre 2012 et juin 2014, Etoele (entreprise de Jean-Baptiste) mettait ses locaux à dispositions le samedi matin. A l’été 2014, une campagne de prêts participatifs visant à réunir 15.000 euros est lancée. Le Conseil Régional et la Préfecture se sont engagés à hauteur de 25.000 euros chacun sur trois ans (150.000 euros en tout) pour financer les frais de fonctionnement. Les machines furent achetées par Etoele via un financement R&D pour développer le Fab Lab.

Aujourd’hui, l’équipe s’est agrandie à 6 personnes, et la communauté compte 255 adhérents et 20 coworkers. Le budget annuel 2015 s’élevait à 205.000 euros dont la moitié en charges salariales, avec 70% de financement public et le reste en ressources propres. Les principales sources de revenus sont le coworking (35.000 euros) et le Fab Lab via les cartes machines, les formations, prestations externes et adhésions (23.000 euros).

Les évolutions prévues sont le développement du service d’incubation transversale, l’évolution vers plus d’autofinancement, le déménagement et changement d’échelle, et peut-être la fusion des deux structures.

Leurs indicateurs de succès ? Le nombre d’adhérents, l’impact en terme de médiation numérique, l’accompagnement de projets, la création de bien commun, la capacité à collaborer sur son territoire, la reconnaissance en dehors d’Amiens, et la bonne ambiance générale au quotidien !

Au quotidien, La Machinerie prône un fonctionnement qualifié “d’hyper horizontal” ! Ici, tout se fait ensemble, tout le monde est force de proposition et on sort du schéma descendant classique (bureau - conseil d’administration - salariés) entre les 6 salariés de l’association, les administrateurs non salariés et les membres.

Une question est posée à chacun lors de la première venue : “voulez-vous le faire vous-même ou voulez-vous le faire faire ?” Selon sa réponse, la personne est orientée vers l’association La Machinerie ou l’entreprise Etoele. Côté Fab Lab, selon le temps à disposition, l’équipe oriente vers des projets internes à vocation pédagogique ou des ateliers à réserver. “On essaie d’orienter sans apporter toute la réponse, en laissant par exemple quelques erreurs volontaires lors des formations afin de pouvoir les montrer et les expliquer.”

Côté formations, on retrouve les initiations, les formations à la carte, Make It Fab avec la Fondation Orange pour les jeunes en reconversion, et le programme Fab School, sorte de FabAcademy locale, qui dure 10 semaines. Côté événements, les sessions libres et les OpenBot (ateliers ouverts sur la robotique) sont les plus fréquents. On retrouve également la Nuit de la Robotique, les soirées CoMakers et les soirées Grands Ensembles.

La Machinerie participe également à de nombreux événements comme le Fab Lab Festival, les Startup Weekends Maker, la Semaine Européenne de la Robotique ou des MakerFaire.

“Au cours de notre (jeune) histoire, on a déjà essayé plein de trucs pour documenter : wiki, système WordPress, outil RedMind. Mais tout cela était trop complexe pour la communauté.”

“Documenter est déjà un challenge pour soi, prendre un maximum de notes, savoir les organiser. Lorsqu’on est en interne, que l’on essaie avec des personnes régulièrement là, ça marche. Avec du grand public qui va et qui vient, ou lors des sessions libres où tout le monde nous sollicite, ça devient très compliqué.”

“Aujourd’hui, on se sert de Makake. Pourquoi ? Parce qu’on les a rencontré au Fab Lab Festival 2015, qu’on a la possibilité de créer une tribu La Machinerie pour nos membres et qu’on échange souvent avec les fondateurs de la plateforme pour l’améliorer.”

L’équipe essaie de garder un maximum de choses sur les projets : méthodologie, recherches, choix, essais, erreurs. Elle garde trace de la vie du lieu avec un calendrier régulièrement mis à jour et une newsletter mensuelle. Et bientôt des formations proposées !

Différentes approches existent pour inciter à documenter : la solution “le plus tôt possible” semble évidente, celle du “dès que tu as fini” ne fonctionne pas trop, celle du “pas d’accès aux machines sans documentation terminée” un peu trop dictateur. La solution de la Machinerie ? “Tiens, pendant que ta découpe se termine ou que tu patientes, on va te présenter Makake !”

L’histoire de La Machinerie débute dans une voiture, par du covoiturage. Jean-Baptiste Heren et Sébastien Personne travaillaient dans la même entreprise à Compiègne. L’un voulait monter une imprimante 3D, l’autre fabriquer un robot lui-même pour sa thèse. A force de bricoler ensemble dans les bureaux d’Etoele (entreprise de Jean-Baptiste), une question surgit : “pourquoi ne pas créer un petit espace pour les gens qui, comme eux, ont besoin de bricoler ?”

Ils ouvrent les bureaux d’Etoele (domicile de Jean-Baptiste) au public les samedis matins. Adrien Bracq, passionné de robotique et récemment arrivé à Amiens, entend parler d’eux, leur envoie un tweet et les rencontre autour d’un café en 2012. L’envie de monter leur propre entreprise, de sortir de leurs habitudes et de créer quelque chose ensemble s’impose petit à petit.

Dans le même temps, Un Tcho Pas de Côté part d’Amiens faire un tour d’initiatives similaires, avec au retour la projection d’un film réalisé sur la route. Tous ces éléments se goupillent et une communauté de personnes attirées par ces notions de Fab Labs, de tiers-lieux et de coworking émerge.

Une campagne de prêts participatifs en août 2014 lance l’aventure. Le local est trouvé dans le foulée, les différentes briques (coworking, Fab Lab, coboutique) se mettent en place et Adrien est embauché ! La Machinerie se veut ouverte à tous, porteurs de projets personnels, professionnels, curieux et bricoleurs qui cherchent un endroit et une communauté ! A leurs yeux, la réalité a dépassé toutes les attentes aujourd’hui. Et si vous souhaitez découvrir leur histoire avec leurs propres mots, c’est par ici

Aujourd’hui, la communauté des 270 adhérents de La Machinerie est très diversifiée, notamment par les activités de Fab Lab et de coworking, qui n’attirent pas le même public. La moitié sont étudiants ou scolaires, un quart salariés, un quart indépendants, artisans et entrepreneurs, et le reste se partage entre retraités, profs, chômeurs et personnes en reconversion ! Le tout se répartit équitablement entre les mineurs, les 18-25 ans et les plus de 25 ans, bien que les hommes soient plus représentés (77%).

Ces chiffres sur la communauté viennent du fichier excel rempli chaque jour par l’équipe. A terme, un système de cartes permettrait de comptabiliser automatiquement ces infos ! Si ces personnes découvrent le Fab Lab par le bouche-à-oreille, le site web et les réseaux sociaux, l’équipe a toutefois remarqué qu’elles laissent s’écouler un certain temps avant de prévoir une première venue, et plus longtemps encore avant de revenir.

Ce qui les fait revenir ? “Le matériel, les conseil, l’ambiance, la rencontre avec les autres, les événements. Les membres bricolent tout, du numérique, de la robotique, de l’électronique, de la scénographie, du mobilier.”

Certains ont commencé par des coups de main et sont aujourd’hui salariés ! Tous répondent présents lorsque l’équipe a besoin d’aide. “On laisse les gens relativement libres, mais l’implication n’est pas aussi spontanée qu’on le souhaiterait. Difficile de l’expliquer. Après, ça reste assez inhabituel de s’approprier un lieu qui n’est pas chez soi non ?”

Au départ, Jean-Baptiste Heren et Sébastien Personne ont monté un lieu de façon libre, gratuite et bénévole. Entre 2012 et juin 2014, Etoele (entreprise de Jean-Baptiste) mettait ses locaux à dispositions le samedi matin. A l’été 2014, une campagne de prêts participatifs visant à réunir 15.000 euros est lancée. Le Conseil Régional et la Préfecture se sont engagés à hauteur de 25.000 euros chacun sur trois ans (150.000 euros en tout) pour financer les frais de fonctionnement. Les machines furent achetées par Etoele via un financement R&D pour développer le Fab Lab.

Aujourd’hui, l’équipe s’est agrandie à 6 personnes, et la communauté compte 255 adhérents et 20 coworkers. Le budget annuel 2015 s’élevait à 205.000 euros dont la moitié en charges salariales, avec 70% de financement public et le reste en ressources propres. Les principales sources de revenus sont le coworking (35.000 euros) et le Fab Lab via les cartes machines, les formations, prestations externes et adhésions (23.000 euros).

Les évolutions prévues sont le développement du service d’incubation transversale, l’évolution vers plus d’autofinancement, le déménagement et changement d’échelle, et peut-être la fusion des deux structures.

Leurs indicateurs de succès ? Le nombre d’adhérents, l’impact en terme de médiation numérique, l’accompagnement de projets, la création de bien commun, la capacité à collaborer sur son territoire, la reconnaissance en dehors d’Amiens, et la bonne ambiance générale au quotidien !

Au quotidien, La Machinerie prône un fonctionnement qualifié “d’hyper horizontal” ! Ici, tout se fait ensemble, tout le monde est force de proposition et on sort du schéma descendant classique (bureau - conseil d’administration - salariés) entre les 6 salariés de l’association, les administrateurs non salariés et les membres.

Une question est posée à chacun lors de la première venue : “voulez-vous le faire vous-même ou voulez-vous le faire faire ?” Selon sa réponse, la personne est orientée vers l’association La Machinerie ou l’entreprise Etoele. Côté Fab Lab, selon le temps à disposition, l’équipe oriente vers des projets internes à vocation pédagogique ou des ateliers à réserver. “On essaie d’orienter sans apporter toute la réponse, en laissant par exemple quelques erreurs volontaires lors des formations afin de pouvoir les montrer et les expliquer.”

Côté formations, on retrouve les initiations, les formations à la carte, Make It Fab avec la Fondation Orange pour les jeunes en reconversion, et le programme Fab School, sorte de FabAcademy locale, qui dure 10 semaines. Côté événements, les sessions libres et les OpenBot (ateliers ouverts sur la robotique) sont les plus fréquents. On retrouve également la Nuit de la Robotique, les soirées CoMakers et les soirées Grands Ensembles.

La Machinerie participe également à de nombreux événements comme le Fab Lab Festival, les Startup Weekends Maker, la Semaine Européenne de la Robotique ou des MakerFaire.

“Au cours de notre (jeune) histoire, on a déjà essayé plein de trucs pour documenter : wiki, système WordPress, outil RedMind. Mais tout cela était trop complexe pour la communauté.”

“Documenter est déjà un challenge pour soi, prendre un maximum de notes, savoir les organiser. Lorsqu’on est en interne, que l’on essaie avec des personnes régulièrement là, ça marche. Avec du grand public qui va et qui vient, ou lors des sessions libres où tout le monde nous sollicite, ça devient très compliqué.”

“Aujourd’hui, on se sert de Makake. Pourquoi ? Parce qu’on les a rencontré au Fab Lab Festival 2015, qu’on a la possibilité de créer une tribu La Machinerie pour nos membres et qu’on échange souvent avec les fondateurs de la plateforme pour l’améliorer.”

L’équipe essaie de garder un maximum de choses sur les projets : méthodologie, recherches, choix, essais, erreurs. Elle garde trace de la vie du lieu avec un calendrier régulièrement mis à jour et une newsletter mensuelle. Et bientôt des formations proposées !

Différentes approches existent pour inciter à documenter : la solution “le plus tôt possible” semble évidente, celle du “dès que tu as fini” ne fonctionne pas trop, celle du “pas d’accès aux machines sans documentation terminée” un peu trop dictateur. La solution de la Machinerie ? “Tiens, pendant que ta découpe se termine ou que tu patientes, on va te présenter Makake !”

Technologies & procédés mis à disposition

Fraisage numérique Impression 3D Impression, dessin & peinture Electronique

Services proposés

Coaching & mentorat de projets Boutique de créations Formations & ateliers pratiques Adhésions à l'atelier Temps libres Privatisation de l'espace Prototypage Espace de travail partagé

Nos pratiques inspirantes

Ce que nous faisons de particulier pour gérer notre espace collaboratif

Le modèle hybride et l’écosystème La Machinerie + Etoele

Qu’est-ce que c’est ?

Par leurs activités et les publics adressés, le modèle hybride entre l’association La Machinerie et l’entreprise Etoele créent peu à peu un véritable écosystème à Amiens.

Concrètement ?

Quel est le lien entre La Machinerie et Etoele ? Leur équipe fondatrice. Les deux structures avancent aujourd’hui ensemble, partagent des locaux et mettent en place des activités complémentaires. La Machinerie gère le fablab, l’espace de coworking et la co-boutique tandis qu’Etoele agit en tant que laboratoire de fabrication numérique professionnel proposant des formations, des prestations, des ateliers/événements ainsi qu’une boutique en ligne. Bientôt, une activité d’incubation transversale sera proposée, plus de détails dans la section “chantiers de demain” ci-dessous.

Pourquoi est-ce intéressant ?

La Machinerie et Etoele proposent ensemble une réponse globale sur les questions d’entrepreneuriat, de création de projets, de communauté et d’innovation. Cet écosystème d’outils, où l’on peut venir avec rien et créer un projet de toutes pièces, fait la particularité du modèle amiénois.


La documentation des projets sur Makake

Qu’est-ce que c’est ?

Après avoir essayé de nombreux outils de documentation (wiki, WordPress, RedMind), La Machinerie se sert désormais de Makake, outil simple permettant de créer un espace pour le fablab et sa communauté.

Concrètement ?

Makake se décrit comme un “studio d’ingénierie collaborative”. Conçue à l’image des plateformes de projets type Instructables ou Thingiverse, une communauté d’utilisateurs peut déposer ses projets divers et variés. De son côté, Makake agit comme un connecteur entre des clients type Airbus ou SigFox et cette communauté. L’utilisateur peut documenter ses projets, et les entreprises peuvent leur proposer de participer (contre rémunération) à des appels à projets, d’être recruté par ces entreprises. Plus de détails sur leurs services ici !

Pourquoi est-ce intéressant ?

La Machinerie se sert avant tout de cet outil pour documenter ses projets avec ses membres, au nombre de 36 sur la plateforme à ce jour. Présentation, réalisation, architecture technique, la documentation est complète et intuitive sur Makake. Les prémices d’un modèle vertueux documentation/entrepreneuriat entre le fablab, sa communauté et des entreprises ?


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