Draft Ateliers

Atelier de fabrication et d'innovation pour créateurs entreprenants

Draft Ateliers, 12 Esplanade Nathalie Sarraute, 75018 Paris

Makerspace Coworking space

Space size 70 m²

Opened in June 2014

Structure type SAS

Explored in February 2017


Draft Ateliers est un espace de co-working et un atelier de fabrication destiné à ceux qui veulent produire leurs idées.

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Main interests

Fashion & textile Community Entrepreneurship Furniture & house Design Clothing & accessories Craftsmanship

This workshop is great for:

Entrepreneurs Students Craftsmen Large companies Small & medium businesses Public organisations Makers pro

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Meet someone from the team & discover the space by yourself!

Our workshop

Learn more about our space, members, machines & services!

Draft Ateliers est né de la rencontre entre Anne qui avait envie d’ouvrir un atelier de sérigraphie et de Quentin, au profil d’ingénieur, qui commençait à s’intéresser au mouvement des ateliers de fabrication collaboratifs. Après avoir quitté leur poste dans la boîte où ils se sont rencontrés, le projet, qui s’est construit en un an, est né en juin 2014.

Dès le départ, ils tenaient leur ligne de conduite: être dans l’air du temps en proposant un mix de co-working/atelier de fabrication/résidence de projets artistiques.

Ils se sont tout de suite différenciés des Fab Labs sur le modèle économique. Ce qui, selon Anne, ne les a pas empêchés d’avoir des valeurs de partage et de coopération. Il s’avère que la diversité des profils (techniques et créatifs), et leur enrichissement mutuel est une quête perpétuelle de l’équipe qui est très fière de sa communauté aujourd’hui.

Après avoir remporté le budget participatif de la mairie de Paris, il y a un an, ils ont ouvert une annexe au rez de chaussée d’une résidence étudiante. Ce lieu est laissé à disposition des adhérents qui peuvent y aller pour profiter des plus grandes machines telles que la découpe laser 80W et la fraiseuse CNC grand format.

Draft-Ateliers, c’est une vingtaine de personnes par jour qui s’y retrouvent et travaillent au sein de l’espace co-working, mais également de nombreuses formations et évènements organisés. Parmi eux 40% d’entrepreneurs et d’individuels, 20% d’étudiants et 40% de grandes boîtes. Depuis sa création, Draft compte environ 700 membres et plus de 1500 visiteurs.

Anne et Quentin aiment qualifier leurs membres “d’entrepreneurs créatifs” et l’espace de “co-working pour des gens qui font des produits”. Mais l’espace de co-working n’attire pas que des profils utilisant les machines, et les membres de Draft ont des activités très variées. On y croise des designers, des créatifs dans la mode, le bijou, la maroquinerie, des start-ups d’objets connectés, des artistes, graphistes, illustrateurs, des architectes, ainsi que des journalistes et musiciens.

Qu’ils soient derrière un écran en train de concevoir, d’animer un réseau, ou sur une machine en train de fabriquer, la majorité ont en commun de travailler pour eux et sont globalement confrontés aux mêmes problématiques.

Concernant les entreprises PME/grands comptes, ils organisent régulièrement des évènements sur l’innovation, les nouvelles méthodes de travail ainsi que la formation aux machines. Mais certains groupes prennent également un abonnement pour leurs salariés qui peuvent venir chez Draft travailler sur un projet interne. Du côté des étudiants, l’équipe Draft a déduit qu’ils venaient pour l’écosystème et pour mieux appréhender le marché de la création.

L’équipe est convaincue que les fidèles adeptes du co-working chez Draft apprécient les lieux pour la communauté et le cadre de travail. En revanche, la fidélisation des makers qui utilisent uniquement l’atelier est plus compliquée car leurs projets ont une durée limitée.

A l’instar du projet, le modèle économique de Draft a très peu évolué depuis ses débuts. L’investissement initial pour le local et les machines fut de 120/150 000 euros.

La plus grande source de revenus vient des activités des indépendants (co-working et formations) correspondant à 60% du chiffre d’affaire. Le service aux entreprises représente 40% du chiffre d’affaire.

Quant aux postes de dépenses, on retrouve en premier les salaires puis les locaux et enfin les frais généraux dont l’entretien des machines.

Si le projet ressemble aujourd’hui plutôt bien à ce qu’ils imaginaient au début, cela n’empêche pas l’équipe de se remettre en question régulièrement, surtout sur les offres d’abonnement : ils réfléchissent à des formules qui offrent plus de flexibilité. Aujourd’hui, le premier abonnement qui inclut des heures sur les machines est à 180 euros/mois, puis l’on passe à 540 euros/mois pour un accès illimité et un accompagnement continu. Autre fidélité au plan de départ : l’implantation de modèles réduits de Draft dans des éco-systèmes déjà existants. Dans l’idéal, Draft devrait dupliquer son modèle d’ici la fin d’année. Leur objectif pour demain est de devenir une référence dans les ateliers de fabrication en France.

Pour prendre les grandes décisions relatives au lab, Anne et Quentin se servent de certains indicateurs comme le taux d’occupation des machines qui leur a permis de déterminer les horaires d’ouverture et le jour de fermeture. Quant à la bonne santé de leur atelier, ils la mesurent au chiffre d’affaire, au taux de fréquentation visible et aux sollicitations à titre d’information.

La division des tâches au sein de l’équipe encadrante s’est fait naturellement. Les deux co-fondateurs Anne et Quentin prennent les grandes décisions relatives à l’avenir de l’atelier. Anne se charge de la vie courante du lieu, de la relation aux entreprises. Avec Nicolas, salarié, elle gère les outils de communication, la production de visuels, le site internet.

Quentin et Nicolas travaillent ensemble sur la partie machine, conception et mécanique. Ils peuvent donner toutes les formations sur les machines. L’équipe fait régulièrement appel à des experts indépendants notamment pour des ateliers spécifiques tels que du design thinking ou même du droit pour les entrepreneurs. Chez Draft, on a misé sur l’autonomie des utilisateurs, qui après avoir validé leur formation, sont capables de tout faire seuls.

L’équipe n’aspire pas à l’accompagnement ultra personnalisé et l’accompagnement post projet n’existe pas encore. En revanche, il y a toujours un volontaire pour régler les petits problèmes du quotidien, apporter des conseils sur l’usage du lieu et sur les projets.

Par ailleurs, Draft a un bel argument pour encourager ses abonnés à terminer leur projet et à le faire de manière professionnelle : son e-shop qui depuis 2 ans rend accessible à la vente des projets qui sont nés chez Draft ou qui ont un lien fort avec l’atelier.

Finalement, chez Draft, le modèle d’accompagnement est basé sur la confiance. Issues de la nécessité et d’une politique orientée vers l’implication de la communauté dans la gestion quotidienne des lieux, ont émergé des pratiques telles que l’ouverture de l’atelier par un adhérent et une gestion libre des membres dans l’atelier annexe. Ils ont également vu les membres modifier l’espace, créer des meubles de rangement, organiser des pots…

L’équipe laisse le soin à chacun d’assurer la documentation et la confidentialité de ses oeuvres. L’idée d’un outil qui formalise la documentation des projets n’est pas encore venue mais Anne et Quentin ont conscience que ce serait une vraie amélioration.

L’équipe encourage déjà les utilisateurs à documenter eux-mêmes leurs projets avec des photos. Concernant la documentation des machines, il existe des tutos réalisés par l’équipe encadrante, à destination des formations.

Quant à l’orientation vers les sources d’informations, c’est une tâche importante pour l’équipe qui relaye un maximum d’informations afin d’aider les membres dans leurs projets.

Selon Anne c’est aux travailleurs d’adopter le réflexe de la documentation mais son rôle est d’accompagner la démarche en amenant plus de facilité et d’efficacité. En témoigne l’initiative d’un partenariat avec une bibliothèque qui permet une documentation bibliographique ciblée dans l’espace de travail.

Draft Ateliers est né de la rencontre entre Anne qui avait envie d’ouvrir un atelier de sérigraphie et de Quentin, au profil d’ingénieur, qui commençait à s’intéresser au mouvement des ateliers de fabrication collaboratifs. Après avoir quitté leur poste dans la boîte où ils se sont rencontrés, le projet, qui s’est construit en un an, est né en juin 2014.

Dès le départ, ils tenaient leur ligne de conduite: être dans l’air du temps en proposant un mix de co-working/atelier de fabrication/résidence de projets artistiques.

Ils se sont tout de suite différenciés des Fab Labs sur le modèle économique. Ce qui, selon Anne, ne les a pas empêchés d’avoir des valeurs de partage et de coopération. Il s’avère que la diversité des profils (techniques et créatifs), et leur enrichissement mutuel est une quête perpétuelle de l’équipe qui est très fière de sa communauté aujourd’hui.

Après avoir remporté le budget participatif de la mairie de Paris, il y a un an, ils ont ouvert une annexe au rez de chaussée d’une résidence étudiante. Ce lieu est laissé à disposition des adhérents qui peuvent y aller pour profiter des plus grandes machines telles que la découpe laser 80W et la fraiseuse CNC grand format.

Draft-Ateliers, c’est une vingtaine de personnes par jour qui s’y retrouvent et travaillent au sein de l’espace co-working, mais également de nombreuses formations et évènements organisés. Parmi eux 40% d’entrepreneurs et d’individuels, 20% d’étudiants et 40% de grandes boîtes. Depuis sa création, Draft compte environ 700 membres et plus de 1500 visiteurs.

Anne et Quentin aiment qualifier leurs membres “d’entrepreneurs créatifs” et l’espace de “co-working pour des gens qui font des produits”. Mais l’espace de co-working n’attire pas que des profils utilisant les machines, et les membres de Draft ont des activités très variées. On y croise des designers, des créatifs dans la mode, le bijou, la maroquinerie, des start-ups d’objets connectés, des artistes, graphistes, illustrateurs, des architectes, ainsi que des journalistes et musiciens.

Qu’ils soient derrière un écran en train de concevoir, d’animer un réseau, ou sur une machine en train de fabriquer, la majorité ont en commun de travailler pour eux et sont globalement confrontés aux mêmes problématiques.

Concernant les entreprises PME/grands comptes, ils organisent régulièrement des évènements sur l’innovation, les nouvelles méthodes de travail ainsi que la formation aux machines. Mais certains groupes prennent également un abonnement pour leurs salariés qui peuvent venir chez Draft travailler sur un projet interne. Du côté des étudiants, l’équipe Draft a déduit qu’ils venaient pour l’écosystème et pour mieux appréhender le marché de la création.

L’équipe est convaincue que les fidèles adeptes du co-working chez Draft apprécient les lieux pour la communauté et le cadre de travail. En revanche, la fidélisation des makers qui utilisent uniquement l’atelier est plus compliquée car leurs projets ont une durée limitée.

A l’instar du projet, le modèle économique de Draft a très peu évolué depuis ses débuts. L’investissement initial pour le local et les machines fut de 120/150 000 euros.

La plus grande source de revenus vient des activités des indépendants (co-working et formations) correspondant à 60% du chiffre d’affaire. Le service aux entreprises représente 40% du chiffre d’affaire.

Quant aux postes de dépenses, on retrouve en premier les salaires puis les locaux et enfin les frais généraux dont l’entretien des machines.

Si le projet ressemble aujourd’hui plutôt bien à ce qu’ils imaginaient au début, cela n’empêche pas l’équipe de se remettre en question régulièrement, surtout sur les offres d’abonnement : ils réfléchissent à des formules qui offrent plus de flexibilité. Aujourd’hui, le premier abonnement qui inclut des heures sur les machines est à 180 euros/mois, puis l’on passe à 540 euros/mois pour un accès illimité et un accompagnement continu. Autre fidélité au plan de départ : l’implantation de modèles réduits de Draft dans des éco-systèmes déjà existants. Dans l’idéal, Draft devrait dupliquer son modèle d’ici la fin d’année. Leur objectif pour demain est de devenir une référence dans les ateliers de fabrication en France.

Pour prendre les grandes décisions relatives au lab, Anne et Quentin se servent de certains indicateurs comme le taux d’occupation des machines qui leur a permis de déterminer les horaires d’ouverture et le jour de fermeture. Quant à la bonne santé de leur atelier, ils la mesurent au chiffre d’affaire, au taux de fréquentation visible et aux sollicitations à titre d’information.

La division des tâches au sein de l’équipe encadrante s’est fait naturellement. Les deux co-fondateurs Anne et Quentin prennent les grandes décisions relatives à l’avenir de l’atelier. Anne se charge de la vie courante du lieu, de la relation aux entreprises. Avec Nicolas, salarié, elle gère les outils de communication, la production de visuels, le site internet.

Quentin et Nicolas travaillent ensemble sur la partie machine, conception et mécanique. Ils peuvent donner toutes les formations sur les machines. L’équipe fait régulièrement appel à des experts indépendants notamment pour des ateliers spécifiques tels que du design thinking ou même du droit pour les entrepreneurs. Chez Draft, on a misé sur l’autonomie des utilisateurs, qui après avoir validé leur formation, sont capables de tout faire seuls.

L’équipe n’aspire pas à l’accompagnement ultra personnalisé et l’accompagnement post projet n’existe pas encore. En revanche, il y a toujours un volontaire pour régler les petits problèmes du quotidien, apporter des conseils sur l’usage du lieu et sur les projets.

Par ailleurs, Draft a un bel argument pour encourager ses abonnés à terminer leur projet et à le faire de manière professionnelle : son e-shop qui depuis 2 ans rend accessible à la vente des projets qui sont nés chez Draft ou qui ont un lien fort avec l’atelier.

Finalement, chez Draft, le modèle d’accompagnement est basé sur la confiance. Issues de la nécessité et d’une politique orientée vers l’implication de la communauté dans la gestion quotidienne des lieux, ont émergé des pratiques telles que l’ouverture de l’atelier par un adhérent et une gestion libre des membres dans l’atelier annexe. Ils ont également vu les membres modifier l’espace, créer des meubles de rangement, organiser des pots…

L’équipe laisse le soin à chacun d’assurer la documentation et la confidentialité de ses oeuvres. L’idée d’un outil qui formalise la documentation des projets n’est pas encore venue mais Anne et Quentin ont conscience que ce serait une vraie amélioration.

L’équipe encourage déjà les utilisateurs à documenter eux-mêmes leurs projets avec des photos. Concernant la documentation des machines, il existe des tutos réalisés par l’équipe encadrante, à destination des formations.

Quant à l’orientation vers les sources d’informations, c’est une tâche importante pour l’équipe qui relaye un maximum d’informations afin d’aider les membres dans leurs projets.

Selon Anne c’est aux travailleurs d’adopter le réflexe de la documentation mais son rôle est d’accompagner la démarche en amenant plus de facilité et d’efficacité. En témoigne l’initiative d’un partenariat avec une bibliothèque qui permet une documentation bibliographique ciblée dans l’espace de travail.

Technologies & processes available

3D printing Textile machines CNC milling Laser cutting Wood working tools

Services offered

Coworking space Coaching & project mentoring Makers e-shop Creations shop Coffee shop Classes & workshops Space rental Prototyping

Our best practices

The inspiring things we do here to run our collaborative space

L’auto-gestion chez Draft-Ateliers

Qu’est-ce que c’est ?

Lorsqu’on s’abonne à l’atelier c’est avant tout pour utiliser des machines, profiter d’un espace de travail, d’une communauté. Mais ce qu’on observe chez Draft c’est une dynamique de groupe informelle où l’autonomie de chaque membre favorise la cohésion du groupe.

Concrètement ?

Plus qu’une implication dans la vie du lieu, c’est une gestion de la vie quotidienne du lab par les abonnés eux-mêmes. Cela va de l’organisation de soirées entre les membres à l’accueil des curieux qui poussent la porte de l’atelier pour s’informer. Cela se fait naturellement, sous forme d’entraide, en relai de l’équipe encadrante quand celle-ci est sollicitée ailleurs. Pas d’impératifs cependant, chacun s’implique en fonction de ses disponibilités et de ses envies.

Pourquoi est-ce intéressant ?

Ainsi, chez Draft, comme à la maison, on est acteurs de la bonne tenue des lieux et de la cohésion de la communauté.

Finalement, si entre l’équipe Draft et ses abonnés, la solidarité est naturelle, c’est parce qu’ils partagent les problématiques de ceux qui ont osé se lancer dans un projet personnel et devenir leur propre patron.


Le e-shop

Qu’est-ce que c’est ?

Le e-shop de Draft, c’est une sélection de produits nés dans les ateliers Draft (ou qui ont un lien fort avec l’atelier) et toujours made in France. Ce sont des accessoires, de la mode, de la maroquinerie, des bijoux, des livres, du design…

Concrètement ?

Pour avoir une chance d’être sur l’e-shop, le produit doit avant tout plaire aux membres de l’équipe Draft, c’est à dire renvoyer une image flatteuse de l’atelier en montrant notamment la diversité de ce qu’on peut y créer.

Pourquoi est-ce intéressant ?

Ce e-shop agit comme un accélérateur de création, comme un objectif à atteindre et l’équipe de Draft veille à ce qu’il soit perçu comme une chance pour sa communauté. En interne, il anime la communauté en valorisant les créations de chacun mais au delà des murs, il permet le rayonnement de l’esprit Draft chez des personnes éloignées géographiquement et/ou socialement de l’atelier de fabrication collaboratif qui n’auraient pas compris ses enjeux sans un aperçu visuel.

Pour voir le e-shop de Draft Ateliers c’est ici.


Our makers projects

Get inspired by the DIY projects of our team & members

APIdou - the connected stuffed toy

Change the way your kids relate to the digital world introducing safer new interactions thanks to APIdou, the stuffed toy controller.

Let’s go on an APIdou adventure ! Move the stuffed toy to control the character in the game to make him walk, run, or dance. Touch the different colored zones to play music, learn the alphabet, and explore numbers. Even after your interactive experience is over, you can still create your own adventures with APIdou, your plush little friend.


Autour du thé

What’s the project story?

Autour du thé, c’est la rencontre chez Draft de Lola - architecte & créatrice du projet Les jolies rencontres - et de Marie Casaÿs - graphiste et illustratrice. Les jolies rencontres de Lola, ce sont autant de projets communs que de portraits d’artistes ou artisans.

Autour du thé est devenu une illustration réalisée par Marie et valorisée sur un mug, un plateau et un coussin. Ce kit est aussi l’histoire d’une jolie rencontre et de beaucoup d’autres à venir autour du thé.

How do they interact with the workshop?

C’est l’utilisation de l’atelier sur leurs projets respectifs qui a donné lieu à cette jolie rencontre et à ce projet commun. Elles ont alors conjugué leur envie de varier les supports et de profiter des différentes machines présentes chez Draft Ateliers.

Ayant quasiment tout réalisé chez Draft Ateliers, la communauté a pu suivre leur projet & l’information fut naturellement être relayée !


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