Kelle Fabrik

Fab Lab associatif

IUT De Dijon, Boulevard Docteur Petitjean, 21000 Dijon

Fab Lab

Space size 35 m²

Opened in April 2014

Structure type Association loi 1901

Explored in January 2016


🇫🇷 Depuis notre exploration en 2016, Kelle Fabrik a changé d’adresse ! Découvrez leur nouveau lieu sur leur site Internet :)

🇬🇧 Since our exploration in 2016, Kelle Fabrik moved to a new address! Discover the new space on their website :)

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Kelle Fabrik

  • 2 Rue des Corroyeurs, 21000 Dijon, France
  • Mail / email - fablab@kellefabrik.org

Kelle Fabrik est un véritable espace collaboratif dijonnais permettant la rencontre de personnes et la mise en œuvre de projets personnels ou professionnels, ayant en commun d’allier créativité et innovation.

Main interests

Social initiatives Community Entrepreneurship Robotics Education Electronics

This workshop is great for:

Every single person & organisation!

The closest workshops nearby are:

  • L’abscisse
  • Ateliers d’calĂ©s
  • Fab Lab Net-IKi
  • Fablab champagnole
  • Fablab arbois

Interview & guided tour

Meet someone from the team & discover the space by yourself!

Our workshop

Learn more about our space, members, machines & services!

Le projet Kelle Fabrik est né de l’esprit de trois femmes formatrices-consultantes dans différents domaines. Par leur métier, elles constatent que peu d’outils et d’accompagnement existent pour les personnes en entreprise qui ne sont pas bien dans leur métier ou leur peau. Quelle place est accordée au droit à l’erreur et à la formation ?

En 2012, une idée germe : celle “d’un endroit où les gens peuvent se rencontrer, peuvent fabriquer des choses, peuvent parler projets, peuvent parler avenir. Un endroit où on participe et un endroit où l’on cocrée des choses de manière positives ! En recherchant des exemples, elles découvrent le concept des Fab Labs, au nombre de 5 à l’époque en France. L’écho à leur projet est immédiat, ce lieu sera un Fab Lab à Dijon.

Pourquoi un Fab Lab ? “J’ai envie de fabriquer et je le fais. Fabriquer quelque chose te met dans une spirale positive, elle est là la puissance du réseau des makers.”

L’association est créée en août 2012, une vingtaine de personnes commence à graviter autour du projet en 2013. Le monde de l’entreprise faisant partie de leur ADN, elles répondent à l’appel à projets du gouvernement fin 2013. Et si le dossier n’est pas retenu, le projet se structure, obtient une subvention régionale, et l’IUT de Dijon propose de leur mettre une salle à disposition. L’aventure commence début 2014.

Aujourd’hui, les utilisateurs de Kelle Fabrik sont des familles accompagnées de leurs enfants, parfois scolarisés à la maison. Des étudiants plein d’idées et de projets. Des personnes salariées qui viennent pour leurs hobbys (des vélos pour sa famille, des drones, des imprimantes 3D et des fraiseuses, des idées farfelues, des envies d’apprendre).

La plupart ont découvert Kelle Fabrik lors d’événements ou d’animations comme la Fête de la Science, le Mois de l’Innovation en Bourgogne ou la Semaine de l’Entreprise. Le bouche-à-oreille et les rencontres jouent également un rôle fort. Et si certains utilisateurs ne font que passer, en moyenne ils reviennent tout de même sept fois par an.

Ce qu’ils viennent chercher selon Laurence : de la formation sur les machines, la participation à des ateliers et un accompagnement pour les premiers pas d’un projet. Au-delà de se former, de découvrir, d’apprendre, de se servir des machines, des projets collaboratifs voient le jour et des réunions projets s’organisent entre les adhérents.

Il arrive fréquemment que les adhérents du Fab Lab proposent des ateliers et s’en occupent de manière autonome, tandis que d’autres proposent leur aide en faisant une permanence de temps en temps.

Les trois fondatrices de Kelle Fabrik ont monté le projet avec très peu de moyens, “moins de 5.000 euros”. Suite à la désillusion de l’appel à projets Fab Labs du gouvernement fin 2013, l’IUT de Dijon leur propose un local dans ses murs pour 2.500 euros l’année. “Nous sommes parties de rien de tout” grâce à de la récup’, des dons et des prêts. L’obtention d’une subvention de la région (40% des investissements jusqu’à 100.000 euros) permet de financer l’achat d’une imprimante 3D professionnelle.

Aujourd’hui, Kelle Fabrik tourne grâce à une dizaine de réguliers et deux services civiques. L’association loi 1901 possède un budget annuel de 30.000 euros et se finance par des subventions (11.000 euros pour l’entrepreneuriat féminin), des dons d’entreprises, les adhésions de la centaine d’adhérents, les ateliers, des interventions et conférences, la privatisation du lieu ainsi que du prototypage. Côté dépenses, ce sont le loyer, l’amortissement des machines, les consommables et les salaires qui priment.

Les évolutions prévues : un déménagement dans une ancienne halle SNCF, l’ouverture de nouveaux ateliers et l’arrivée de nouvelles machines. Côté indicateurs, l’équipe prête attention aux nouveaux adhérents, à la fréquentation des apéros-projets, et aux personnes qui reviennent !

L’équipe élargie qui anime Kelle Fabrik au quotidien se compose du bureau de l’association, de services civiques, et d’adhérents. Les premiers donnent une dynamique, gèrent les relations extérieures, suivent les projets, etc. Les membres eux donnent des coups de main sur le site Internet et l’animation de la communauté par exemple. Même si Laurence (présidente) rappelle que “chacun fait ce qu’il veut, quand il veut” !

Quand une personne arrive à Kelle Fabrik avec un projet, la première question qui est posée est de savoir si le projet est individuel ou à perspective collaborative. Le besoin concerne-t-il l’utilisation des machines ? La recherche de compétences ? Une fois le questionnaire de compétences rempli, l’utilisateur sera suivi et coaché par Laurence si besoin, ou incité à monter et piloter un groupe de travail.

Les moments forts pour échanger et faire ensemble sont les apéros-projets (tous les deux à trois mois) et les ateliers (fréquemment). Lors des apéros-projets, les avancées et les projets sont présentés, des groupes se forment. On y propose également des idées d’ateliers. Si le Fab Lab donne l’impulsion des ateliers, ce sont les membres qui prennent ensuite la main ensuite.

“Quand les gens viennent, ils développent une curiosité à faire les choses autrement.”

Kelle Fabrik avoue ne garder que peu trace de ce qui se passe dans le Fab Lab aujourd’hui. La forme de documentation la plus utilisée ici est la photographie. Les autres outils sont un classeur de documentation, une page sur le site Internet pour les projets en cours ainsi que des “pads” collaboratifs de prise de notes. Toutefois, ces outils sont encore peu alimentés.

Laurence (présidente de Kelle Fabrik) explique : “on commence à y réfléchir, mais on ne sait pas encore comment on va faire. Il faut que l’on mette cela en place, c’est une part du collaboratif. Mais il faut le bon outil.”

Aujourd’hui, les ateliers et réunions font l’objet d’un compte-rendu, partagé aux membres par mail. Des photos sont prises par ceux qui sont présents et partagées sur les réseaux sociaux. Pour les projets, le chef de projet et les membres de l’équipe font comme ils le désirent.

Le projet Kelle Fabrik est né de l’esprit de trois femmes formatrices-consultantes dans différents domaines. Par leur métier, elles constatent que peu d’outils et d’accompagnement existent pour les personnes en entreprise qui ne sont pas bien dans leur métier ou leur peau. Quelle place est accordée au droit à l’erreur et à la formation ?

En 2012, une idée germe : celle “d’un endroit où les gens peuvent se rencontrer, peuvent fabriquer des choses, peuvent parler projets, peuvent parler avenir. Un endroit où on participe et un endroit où l’on cocrée des choses de manière positives ! En recherchant des exemples, elles découvrent le concept des Fab Labs, au nombre de 5 à l’époque en France. L’écho à leur projet est immédiat, ce lieu sera un Fab Lab à Dijon.

Pourquoi un Fab Lab ? “J’ai envie de fabriquer et je le fais. Fabriquer quelque chose te met dans une spirale positive, elle est là la puissance du réseau des makers.”

L’association est créée en août 2012, une vingtaine de personnes commence à graviter autour du projet en 2013. Le monde de l’entreprise faisant partie de leur ADN, elles répondent à l’appel à projets du gouvernement fin 2013. Et si le dossier n’est pas retenu, le projet se structure, obtient une subvention régionale, et l’IUT de Dijon propose de leur mettre une salle à disposition. L’aventure commence début 2014.

Aujourd’hui, les utilisateurs de Kelle Fabrik sont des familles accompagnées de leurs enfants, parfois scolarisés à la maison. Des étudiants plein d’idées et de projets. Des personnes salariées qui viennent pour leurs hobbys (des vélos pour sa famille, des drones, des imprimantes 3D et des fraiseuses, des idées farfelues, des envies d’apprendre).

La plupart ont découvert Kelle Fabrik lors d’événements ou d’animations comme la Fête de la Science, le Mois de l’Innovation en Bourgogne ou la Semaine de l’Entreprise. Le bouche-à-oreille et les rencontres jouent également un rôle fort. Et si certains utilisateurs ne font que passer, en moyenne ils reviennent tout de même sept fois par an.

Ce qu’ils viennent chercher selon Laurence : de la formation sur les machines, la participation à des ateliers et un accompagnement pour les premiers pas d’un projet. Au-delà de se former, de découvrir, d’apprendre, de se servir des machines, des projets collaboratifs voient le jour et des réunions projets s’organisent entre les adhérents.

Il arrive fréquemment que les adhérents du Fab Lab proposent des ateliers et s’en occupent de manière autonome, tandis que d’autres proposent leur aide en faisant une permanence de temps en temps.

Les trois fondatrices de Kelle Fabrik ont monté le projet avec très peu de moyens, “moins de 5.000 euros”. Suite à la désillusion de l’appel à projets Fab Labs du gouvernement fin 2013, l’IUT de Dijon leur propose un local dans ses murs pour 2.500 euros l’année. “Nous sommes parties de rien de tout” grâce à de la récup’, des dons et des prêts. L’obtention d’une subvention de la région (40% des investissements jusqu’à 100.000 euros) permet de financer l’achat d’une imprimante 3D professionnelle.

Aujourd’hui, Kelle Fabrik tourne grâce à une dizaine de réguliers et deux services civiques. L’association loi 1901 possède un budget annuel de 30.000 euros et se finance par des subventions (11.000 euros pour l’entrepreneuriat féminin), des dons d’entreprises, les adhésions de la centaine d’adhérents, les ateliers, des interventions et conférences, la privatisation du lieu ainsi que du prototypage. Côté dépenses, ce sont le loyer, l’amortissement des machines, les consommables et les salaires qui priment.

Les évolutions prévues : un déménagement dans une ancienne halle SNCF, l’ouverture de nouveaux ateliers et l’arrivée de nouvelles machines. Côté indicateurs, l’équipe prête attention aux nouveaux adhérents, à la fréquentation des apéros-projets, et aux personnes qui reviennent !

L’équipe élargie qui anime Kelle Fabrik au quotidien se compose du bureau de l’association, de services civiques, et d’adhérents. Les premiers donnent une dynamique, gèrent les relations extérieures, suivent les projets, etc. Les membres eux donnent des coups de main sur le site Internet et l’animation de la communauté par exemple. Même si Laurence (présidente) rappelle que “chacun fait ce qu’il veut, quand il veut” !

Quand une personne arrive à Kelle Fabrik avec un projet, la première question qui est posée est de savoir si le projet est individuel ou à perspective collaborative. Le besoin concerne-t-il l’utilisation des machines ? La recherche de compétences ? Une fois le questionnaire de compétences rempli, l’utilisateur sera suivi et coaché par Laurence si besoin, ou incité à monter et piloter un groupe de travail.

Les moments forts pour échanger et faire ensemble sont les apéros-projets (tous les deux à trois mois) et les ateliers (fréquemment). Lors des apéros-projets, les avancées et les projets sont présentés, des groupes se forment. On y propose également des idées d’ateliers. Si le Fab Lab donne l’impulsion des ateliers, ce sont les membres qui prennent ensuite la main ensuite.

“Quand les gens viennent, ils développent une curiosité à faire les choses autrement.”

Kelle Fabrik avoue ne garder que peu trace de ce qui se passe dans le Fab Lab aujourd’hui. La forme de documentation la plus utilisée ici est la photographie. Les autres outils sont un classeur de documentation, une page sur le site Internet pour les projets en cours ainsi que des “pads” collaboratifs de prise de notes. Toutefois, ces outils sont encore peu alimentés.

Laurence (présidente de Kelle Fabrik) explique : “on commence à y réfléchir, mais on ne sait pas encore comment on va faire. Il faut que l’on mette cela en place, c’est une part du collaboratif. Mais il faut le bon outil.”

Aujourd’hui, les ateliers et réunions font l’objet d’un compte-rendu, partagé aux membres par mail. Des photos sont prises par ceux qui sont présents et partagées sur les réseaux sociaux. Pour les projets, le chef de projet et les membres de l’équipe font comme ils le désirent.

Technologies & processes available

3D printing Textile machines Recycling Laboratory, biology & chemistry Electronics

Services offered

Workshop memberships Classes & workshops Coaching & project mentoring Talks & conferences Space rental Prototyping Open moments

Our best practices

The inspiring things we do here to run our collaborative space

Apéros projets

Qu’est-ce que c’est ?

Tous les deux à trois mois, la communauté du fablab Kelle Fabrik se réunit lors de soirées où tout le monde échange sur ses projets.

Concrètement ?

Lors de ces apéros projets, Laurence (présidente du fablab) fait l’introduction, explique où en sont les projets en cours depuis la dernière fois. Les membres amènent à manger, à boire, et présentent leurs projets. Les rencontres se font naturellement et des groupes se constituent.

Pourquoi est-ce intéressant ?

Ces apéros-projets sont les moments forts pour échanger, partager son projet, trouver des personnes et des compétences, passer un bon moment et profiter de la dynamique. “Certaines personnes ne viennent qu’aux apéros projets et en ressortent boostées !”


Ateliers proposés et organisés par les membres

Qu’est-ce que c’est ?

Les adhérents du fablab proposent des thématiques pour des ateliers et les organisent de manière autonome.

Concrètement ?

Lors des apéros-projets, des idées d’ateliers sont proposées par les membres. L’équipe du fablab capte ces idées, se charge d’en reparler avec les adhérents concernés et donne l’impulsion pour passer à l’action. Ces personnes s’en occupent de manière autonome réorganisent des ateliers, viennent prendre les clés. L’atelier couture par exemple a lieu sur l’autre site, deux fois par mois.

Pourquoi est-ce intéressant ?

Au-delà des machines, les fablabs sont un outil de prise d’autonomie pour les individus, et laisser la main à ses membres dans l’organisation d’ateliers et dans la vie du lieu est essentiel.


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